Gauche à droite : Elisabeth Starenkyj (La tête Chercheuse) , Fannie Perron (Atypic), Mélissa Faucher (CJE Côte-des-Neiges et Grosses Têtes), Laurence Plourde-Dinelle (étudiantes), Alex Chayer (D.G. de Le Mûrier) et  Nicolas Dion (Lg2) Absents de la photo : Maxime Gagné et Pierre-Émile Harvey (étudiants)

Pour une 5ème édition, les étudiants au Certificat de publicité de l’UdM développent des stratégies publicitaires pour un organisme de Montréal oeuvrant en santé mentale!

Côte-des-Neiges, 12 avril 2016 –Le 18 mars passé, les étudiants au Certificat de publicité de l’Université de Montréal ont présenté devant jury différentes stratégies publicitaires à mettre en place par l’organisme Le Mûrier, innovant en santé mentale. Pour une 5ème édition, cet exercice a été un vrai succès et est toujours une réelle opportunité pour l’entreprise non lucrative qui veut augmenter sa notoriété auprès de la population, et ce gratuitement.

Dans le cadre de ce partenariat, le CJE Côte-des-Neiges et l’agence de publicité communautaire Grosses Têtes sont fières d’avoir pu compter parmi ses collaborateurs, les membres du Jury, Elisabeth Starenkyj de la Tête Chercheuse, Fannie Perron de chez Atypic et Nicolas Dion de chez Lg2 ainsi que Richard Leclerc, chargé de cours de l’université. Mention à Infopresse, qui à leur manière viennent récompenser le travail des étudiants.

Les membres du jury, ont particulièrement apprécié l’approche intégrée de l’équipe composée de Maxime Gagné, Pierre-Émile Harvey et Laurence Plourde-Dinelle dans laquelle un partenariat de marketing de cause a été proposé appuyé par des outils accrocheurs et simples à réaliser.

Cette initiative de l’agence de publicité communautaire Grosses Têtes et de Richard Leclerc, chargé de cours à l’Université de Montréal a plusieurs objectifs : Valoriser l’implication des étudiants dans l’élaboration de bonnes stratégies de communication en faveur des organismes de Montréal. Développer les qualités entrepreneuriales des étudiants en les mettant en situation d’entreprise. Faire connaître le secteur de l’économie sociale et communautaire comme secteur d’emploi et d’entrepreneuriat dynamique.

 

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